Aller au contenu

Coin lyricists


cup
 Share

Messages recommandés

  • Réponses 1,5k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

  • 2 weeks later...

Ça faisait un bout.....

 

Bah voila, tout frais de toute de suite !!!!

 

 

 

 

Pourquoi notre relation devait être éphémère ?

Et pourquoi n’est possible, aucun retour en arrière ?

On ne nous préviens qu’avec toi ça ne dure qu’un temps !

On ne nous prépare pas à vivre dans tant de tourments !

Tu nous accompagnes sur les routes de nos premières années,

Tu nous protège des doutes des larmes, et tu nous cache la vérité.

Puis un beau jour tu décides qu’on est assez vieux, qu’il est déjà temps,

Tu nous abandonnes, tu pars loin, comme une feuille balayée par le vent.

De façon toute a fait arbitraire, tu choisis un événement.

Le décès d’un grand père, la maladie d’une maman…

Tu retires le voile qui nous caché la rudesse de la vie,

Tu retires ce voile…..et on comprend que c’est fini.

On comprend que la vie n’est pas que jeux et plaisir enfantins.

Qu’il ne suffit plus d’attendre qu’arrive tranquillement demain.

Sur nos visages, les sourires se font de plus en plus rare.

On découvrir les soucis, et la définition du mot barbare.

Sur nos visages, apparaît la tristesse, et les marques de douleurs,

On ressent nos faiblesses, et on entrevoit de nouvelles peurs.

Peur de na pas y arriver, peur d’être coincer dans se merdier….

Peur de ne pas pouvoir tout assumer, de finir sur le bas coté…

Tu retires ce voile…..et on comprend que c’est fini.

Tu retires ce voile…..qui nous cachait la vie.

Quand j’ai un coup de cafard, c’est à ces années à tes cotés que je repense.

Quand ça part en couille dans ma vie, je veux te retrouver…. Insouciance !!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Good Quicky!!

 

moi de meme...

 

L’envie de partir...

 

Envie de partir

Loin… très loin

Sans pensé à rien

Avoir plusieurs chemins

Sans chagrin

Sans amies

Faire sa vie

 

Etre seul

Faire se qu’il te plait

Sanns recueil

Faire que marcher

Sans savoir ou aller

Sans songer ou s’arrêter

Faire une pose ?

Oui, le temps de faire une prose...

 

Partir combien de temps ?

Même si on me dit nan

Je continuais en chantant

En tout cas pas maintenant...

 

Si je reviendrais ?

J’y ai pensé

Je serais de retour

S’il me vient l’amour

Mais pour l’instant

Ce n’est pas mon tour….

Alors passons le temps.

Comme on passe son tour

 

Il est tard

C’est le soir

Je regarde le ciel

Et ces étoiles si belles

 

J’aimerais être à leurs places

Etre aussi belle qu’une statut de glace

Sans rien prononcer

Et vous regarder

 

C’est un plaisir

Une folie

Sa me fait sourire

De me voir épanoui

Et de sentir

Que ma vie

Se dis tanpi

Et attend de mourir…

 

 

Un rêve pas encor

Réalisé, mais bien imaginé…..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ouai !

 

D'ailleurs, Gaga, si t'as des noms de poètes qui t'viennent en tête, tappe les, ce serait cool :p

 

Moi je propose pour commencer Baudelaire, Thoreau, Whitman... t'as déjà un peu de boulot avec ça Gaga... ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

j'ai toujours eu un faible pour Verlaine... et pour Arthur Rimbaud...

Mais, ce qui me plait le plus, c'est les petits recueils de purs inconnus.... je les affectionne à un point!!!

(un jour, je trouverais peut etre quelqu'un qui aura trouvé le mien.... :rolleyes: )

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La cigale et la Fourmi

 

Petite cigale enjouée,

De vingt printemps à tout casser,

Je profitais de chaque instant,

Me laissant porter par le vent,

 

Je suis entrée dans ce café,

Je me souviens, c’était l’été,

Et je flânais, cheveux aux vents,

Me laissant porter par le temps….

 

Et quand la bise fut venue,

Je me trouvais bien dépourvue,

Et dans mon cœur il faisait froid,

Pas d’amour, pas de toi et moi,

 

Et quand la bise fut venue,

Je me trouvais bien dépourvue,

Car pour me protéger du froid,

Je n’avais trouvé aucun bras….

 

Petite fourmi travailleuse,

Toujours au top, vraiment sérieuse,

Tu étais assis dans un coin,

Avec un stylo a la main.

 

Et moi cigale j’ai chanté,

Et toi fourmi ma regardé,

Et dans mon cœur y’eut un éclat,

J’ai su, là, oui, que c’était toi…

 

Et quand la bise fut venue,

Je me trouvais bien dépourvue,

Car dans mon cœur, il y’avait toi,

Mais chez toi, y’avait-il un moi ?

 

Et que la bise fut venue,

Je me trouvais bien dépourvue,

Car alors je ne savais pas,

Ce que c’est qu’être dans tes bras….

 

Quand par malheur, nous vint l’automne,

Ou les cigales sont monotones,

Ou les fourmis rentrent chez elles,

J’avais alors perdu mes ailes.

 

Et quand sur le quai de la gare,

J’allais glisser un triste au revoir,

Tu as souris et déposé,

Sur mes lèvres un si doux baiser…

 

Que quand la bise fut venue,

Moi je ne fut pas dépourvue,

Car dans mon cœur j’avais gardé,

La chaleur de ton doux baiser,

 

Et quand la bise fut venue,

Moi je ne fut pas dépourvue,

Petite cigale avait trouvé,

Bras de fourmi a enlacer

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant
 Share


×
×
  • Créer...