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faut éviter quicky, il est pas modo mais ronchon xD

sinon les modos sont gentils, tu dis tu fais partie des amis à Karlik et ils tel aissent tranquille ^^

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pareil

 

 

Lapinou quickyyyyy était très gentiiiiil

jusqu'au jour ou il a décidé de plus aimer le floood ailleurs que dans la partiiie flood

Ca a foutu la trouille a karlik et traumiiiii

maintenant ils veulent plus poster et ils boouuuuuudent

 

xD

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mais a l'origine j'ai posté moi c'est karlik qui m'a entrainé dans un flood incontrôlable je ne réponds plus de mes actes snif:

 

 

Bon un texte

 

Belle du matin

Vieille demain

 

Une peau douce

une bouche qui tousse

Un visage lisse

une peau qui plisse

 

Je t'ai regarde vieillir

Tu ne faisais que souffrir

Alors je t'ai aidé

Ah ne pas te réveiller

 

Tu morte ce matin

Je mourrais demain

 

 

un truc vraiment vite fait pour apaiser maitre quicky ^^

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MERCI xD

 

javais écrit un sonnet pour ma meilleure amie en anglais, "my sun my butterfly", sauf que jm'en rappelle plus, mais bon on a fait une crise de chialage quand jlui ai lu haha

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bon, c'est un genre poétique que j'aime travailler parce que c'est vachement dur... c'est un panthum ou pantoum (on dit les deux)... on il est pas parfait, mais il sort de ma p'tite tete, alors... voilà!!

Pantoum

 

Quand de ta main tu effleures la mienne

Je sens monter le désir en moi

Ton regard et ta peau douce me retiennent

Tout mon corps est alors en émoi.

 

Je sens monter le désir en moi,

Des frissons de plaisir parcours mon dos,

Tout mon corps est alors en émoi

Quand j'attise le feu de l'âtre chaud.

 

Des frissons de plaisir parcours mon dos,

ta langue titille mes lèvres humides,

Quand j'attise le feu de l'âtre chaud,

Tu te sers un verre que d'un trait tu vides.

 

Ta langue titille mes lèvres humides,

Je me laisse aller à tes tendres caresses,

Tu te sers un verre que d’un trait tu vides,

Et prends possession de moi avec ivresse.

 

 

Je me laisse aller à tes tendres caresses,

Quand de ta main tu effleures la mienne,

et prends possession de moi avec ivresse

Ton regard et ta peau douce me retiennent.

 

Quand de ta main tu effleures la mienne

Je sens monter le désir en moi

Ton regard et ta peau douce me retiennent

Tout mon corps est alors en émoi....

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Ecrit aujourd'hui même :

 

Des larmes assasines

Noient les sombres abîmes

De tes prunelles cristalines.

Fragiles, mes ailes suspendues

A ton souffle interrompu

Par des sanglots inattendus.

Tendus vers toi, mes bras

Attendent doucement de briser ce froid

Qui t'a laissé dans un tel émoi.

 

( Quicky > écriveuses ! :siffle: lol )

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Il me fuit

 

Il détourne son regard, évite nos tête-à-tête,

Il invite à faire la fête, ses amis jusqu'à très tard.

Il ne remarque même pas ma nouvelle coupe de cheveux,

Ou cette robe décolletée, ou ce noir sur mes yeux...

 

Il ne fait pas attention aux bougies, à la musique,

Aux assiettes du dimanche, à la belle argenterie.

Il mange dans le silence ce plat fait avec amour,

s'essuie la bouche et sort de table, et moi, j'ai le cœur lourd.

 

Il se pose sur le canapé, allume la télévision,

discrètement je tente d'attirer sur moi son attention,

Mais il n'en est rien, je quitte la pièce,

des larmes me brûlent les yeux.

 

Dans notre lit, je tente alors avant la nuit un petit câlin,

Il lit un livre trop passionnant, me repousse en ronchonnant.

Puis enfin, le ferme, me dit bonne nuit, et dors jusqu'au matin...

 

Il me soutient qu'il n'y a personne, que je suis la seule dans sa vie,

Mais comment fait-il pour assouvir ses désirs et ses envies,

quand près d'un mois sépare nos rapports amoureux,

Moi je ne tiens plus, je le veux, oui, j'en veux!

 

J'ai peur que ce désir trop souvent dérouter,

ne m'amène à choisir une voix peu conseillée,

Mais je ne supporte plus cette situation...

mon cœur à ses limites, ainsi que ma raison...

 

il me fuit...

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Je me suis noyée dans tes yeux...

 

 

"Je me suis noyée dans tes yeux...". Phrase connue, dite et redite,

encore toujours,

pour qu'un poème sonne bien,

pour qu'il soit plus chantant....

 

Mais, je me suis noyée dans tes yeux... noyée, jusqu'au bout,

jusqu'à y perdre pied,

jusqu'à ne plus revenir à la surface....

 

Je m'y suis jetée un soir de septembre, sans y prendre garde,

sans reflechir,

juste jetée,

pour voir ce qui allait m'y attendre....

 

J'y ai vu mon reflet, comme un miroir,

le reflet d'une femme que je ne connaissais pas,

le reflet d'une femme aux yeux pétillants,

au sourire amusé,

le reflet d'une belle femme....

 

j'y ai trouvé tes bras, forts, réconfortants,

tes mains douces, tes levres sucrées,

tes mots doux et tendres à mon oreille,

des choses que je n'avais plus depuis longtemps...

 

Je me suis noyée dans tes yeux quand tu m'as dit ce soir,

qu'on ne pouvait plus continuer ainsi.

Je me suis noyée dans mes larmes,

lestée par mon coeur si lourd....

 

Je me suis noyée dans tes yeux, parce que j'ai cru être forte,

gérer cette situation,

celle de la femme délaissée qui cherche un peu d'action,

celle qui pense que son coeur saura être étanche,

mais qui se trouve noyée par la fuite des sentiments....

 

Je me suis noyée dans tes yeux, et j'en reste amoindrie,

le coeur s'est arrêté, et s'arrête ma vie...

Je me suis noyée dans tes yeux...

je me suis noyée dans tes yeux...

Je me suis noyée.

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