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O amour, désespoir, ton goût âpre me ronge

Tu inondes mon coeur, l'exalte, le détruit

S'il n'y a plus d'espoir, enfin, quitte mes songes

Ta seule présence m'empêche la survie.

 

Je te sens contre moi, brûlant un coin de peau

Vivace, tu t'étends, te nourris de mon âme

Jusque dans mes veines, tu puiseras bientôt

Créant un déluge, si ce n'est pas un drame.

 

Malgré ma tristesse, tu persistes et tu vies

Mon coeur n'est qu'ivresse, mon âme impardonnée

Je n'aurais, mon amour, qu'une étoile de nuit

Le jour étant trop long, mes nuits trop écourtées.

 

Je veux haïr l'amour mais ne peux vivre sans

Mon esprit se dissout, je suis vulgaire amant.

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Texte ecrit,

Au sortir du lit,

Exuctoire plein de larmes,

Contre mon vague a l'âme.

J'ai passé le nuité,

A penser a toi,

Tout a tes cotés,

Mon monde c'était toi.

Cela fait longtemp,

Qu'on ne s'est pas croisés,

Et tu le vois pourtant,

Je ne t'ai pas oublié.

Les choses de la vie,

Ne m'ont permis,

D'etre dans ton coeur,

Pour mon grand malheur.

Mais les choses de la vie,

M'ont quand même permis,

De t'avoir pour amie,

J'espère pour la vie.

Les kilomètres nous séparent,

Mais quand mes pensées s'égarent,

C'est devant ta porte,

Qu'elle me transportent.

Je t'aime et tu le sais,

Mais pour garder ton amitié,

Mes sentiments a tout jamais,

Resterons refoulés.

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J’ai perdu la forme, mes formes et ma force.

Je ne ressemble plus à rien.

Je ne marche plus les yeux levés au ciel.

Je n’essaye plus de refaire le monde.

Je vomis trois fois par jour, matin, midi et soir.

Je me coupe les cheveux à chaque dispute.

Je maquille mon visage.

J’appelle ça « mon masque ».

Je me lève deux heures plus tôt le matin.

Parce que d’abord je dois prendre une longue douche et brosser mes dents vingt fois.

Parce que je dois prendre quelques cigarettes dans le manteau de mon père avant qu’il ne se lève.

Parce que je dois prendre le train.

Parce que le froid me gèle les os et que ça ralenti ma marche.

Parce que mon sac me pèse.

Parce que la vie va beaucoup trop vite pour moi…

 

J’ai aussi ce sentiment d’être sale en permanence.

Que je prenne 36 douches, que je me force à rester sous l’eau brûlante en pensant éliminer définitivement la crasse, que je mousse mon corps à n’en plus voir la couleur, que j’use un tube de dentifrice à chaque brossage ou que je me brosse les dents à m’en faire saigner la gencive, la saleté me colle à la peau.

 

Je ne rentre plus chaque soir depuis trois mois.

Trois mois que ce sont les quelques mots que vous venez de lire qui me font vivre.

Vivre, j’en rirais presque.

Dans ma chambre à l'internat, on est quatre.

Quatre filles.

Trois minettes et une débauchée.

Au début elles me souriaient.

Au début elles me tapaient gentiment sur l’épaule.

Mais je n'avais et n'ai aucune envie de leur être agréable.

Je ne sais même plus si elles me parlent encore.

De temps en temps sûrement.

Je dis oui, non ou je ne sais pas.

Vous aurez comprit que ce large vocabulaire permet difficilement la moindre discussion.

A côté d’elles je…

Non, ce n’est même pas comparable.

Elles redoutent les contrôles, les résultats, les déclarations d’amour ratées, les mots dans les casiers destinés aux parents…

J’ai peur, peur de ne pas vomir aussi facilement que le soir précédent.

 

La lumière est éteinte à 22h et tout bruit doit cesser.

Il m’est impossible de dormir alors je sors de mon lit, fais légèrement grincer le parquet et me faufile à l’extérieur de la chambre.

C’est calme.

J’entrouvre la porte de la salle de bain commune et me tasse dans le fond de la pièce.

Noir, silencieux, froid, dur, difforme sont les premiers mots qui me viennent à l’esprit.

Mais une immensité s’accumule…

Des formes, des odeurs, des bruits, toutes ces sensations que je ne me permets pas dans la journée, me rattrapent une fois la nuit tombée.

Je pourrai avouer que c’est agréable, me réjouir que ce corps prenne enfin vie…

Mais ce n’est pas le cas.

Alors je ne m’inventerai pas ce bonheur juste pour vous.

Mais il fait plus que reprendre vie en un sens puisqu’il me brûle de l’intérieur.

Alors que mes mains, mes jambes et mes pieds prennent froid, mon ventre exprime sa douleur.

Il réclame de la nourriture.

Je refuse et il me puni par violents coups dans chaque recoins de son espace.

Ça m’essouffle et je m’étale sur le carrelage.

Si j’ai de la chance, une heure plus tard il se fatigue et me laisse rejoindre mon matelas.

Tout s’arrête pour mieux recommencer…

 

(...)

 

Je descends les marches, en bas la radio est allumée mais y’a personne.

Je zappe l’opéra pour un morceau de jazz et me mets de l’eau à chauffer.

Ils finiront bien par arriver un jour ou l’autre.

 

J’étais en pleine réunion avec les sachets de thé pour désigner l’un d’entre eux comme futur gagnant, quand le téléphone a sonné :

 

- C’est qui ?

- Papa. Et puis dis pas « c’est qui » c’est pas poli.

 

Il avait l’air crevé et stressé mon papa…

Mauvais mélange.

 

- J’appelle depuis tout à l’heure ça t’arrive de décrocher ?!

- Je dormais.

- C’est le moment. Bon, on est coincés sur la quatre voies avec Brigitte et les enfants.

On risque d’en avoir encore pour longtemps.

Tu peux te faire une conserve et aller te coucher.

On se verra demain.

 

Pof, finito por telefono.

Charmant amour paternel enclenché.

Yeah, une conserve.

Alors p’tit thé caramel, choux de Bruxelles ou haricots pets ?

Une pizza tu dis ?

Good choice !

 

J’ai pris 10 euros, une écharpe et me suis enfuis à vélo.

La pizzeria est à six kilomètres et ce soir, j’ai le temps.

 

La route était boueuse, le vent était d'la partie et je suis tombée à plusieurs reprises.

J'ai atteint la pizzeria, il faisait nuit et j’ai déposé la machine contre le mur.

Placée dans la lumière du stand, les mains serrées dans mes poches pour les réchauffer, j'ai attendu.

 

(...)

 

Ca fait un moment que je n’ai pas écrit dans ce carnet.

Très longtemps ne serait pas peut dire.

Dois-je m’excuser ?

A qui ?

Bref.

Bref, bref, bref… la vie suit son cours.

Sa grande monotonie.

La vérité vraie c’est que ce quotidien n’est plus suffisamment triste pour que ça vaille la peine d’être retranscrit ici.

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Le bruit de tes pas.

 

 

Le bruit de tes pas sonne le glas de mon cœur.

Tremblante tel un arbre que le vent caresse,

Ta voix, ton regard, ton sourire disparaissent,

Laissant place au vide où ma joie se meurt.

 

Près d’une rivière, lentement je m’assoies,

Les doux reflets du ciel m’éblouissent parfois.

Je crois voir ton visage dans ces étincelles,

Sur mes funestes joues, de grands torrents ruissellent.

 

Le bruit de tes pas sonne la fin du roman.

Mes cheveux me giflent et mes yeux me dévorent,

Le livre se referme, il n’y a plus d’encore.

 

Au fond de la rivière, je glisse lentement

Mon corps lesté d’une pierre, ton cœur de marbre,

Dans les racines des arbres, ma vie se perd…

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mawiea c'est beau ! :love:

 

 

Il y avait du sang dans les yeux de ces gens

Il avait de l’amour dans le regard de ce monde

Je veux le quitter sans jamais m’en allé

L’amour et la haine ne font plus qu’un

Mon regard dans le tien la voilà la raison

Dans ce monde ou vivre et survivre se complète

J ‘aurais aimais vivre sans jamais être bête

Mais non je ne suis pas un assassin

Je prends ce que l’on m’a donné

J’essaie de fermer les yeux pour respirer

Un malaise que l’on dit pathétique m’envahit

Et pourtant il faut que j’oublie

Une force égoïste s’empare de moi

Toujours plus en restant aveugle

Je suis contaminé par l’envie

Je nous voie nous détruire

Pour une histoire de billet vert

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Il ne reviendra pas…

 

 

Sur la dune où le vent dessine une crête,

Egrainant le sable de cette étendue déserte,

Je te vois regardant vainement l’horizon.

Pourtant, tu sais dans ton cœur si profond,

Tu sais, aussi fort que tu répètes son nom,

Il ne reviendra pas…

 

Tu rêves de son retour depuis maintenant des mois,

Souvent, lors de tes songes, tu crois entendre sa voix,

Mais ce n’est que mirage dans ce désert si grand,

Ce n’est pas son visage que découvre le vent.

 

Comment à commencée cette folle expédition ?

Ah oui! Une jeune mariée, un beau et grand garçon,

Lune de miel en Afrique, Soleil et sable chaud,

Ce devait être magique, Amour et noix de coco…

 

Puis il y a eu ces gens,

Puis il y a eu ces cris.

Explosion, bain de sang,

Silence et cœurs meurtris.

 

Juste là de passage, innocents et heureux,

Mais on sait que la rage n’utilise pas ses yeux!

Les tiens aujourd’hui secs d’avoir bien trop pleuré,

Parmis les touaregs, recherchent ton bien-aimé…

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Un sonnet que j'avais ecris pour un ami qui est encore au lycee, un sonnet satirique donc sur Mr le president ^^

 

C'est dans les aventures du petit nicolas,

que la jeunesse française s'est battit un rêve,

Mais après avoir lu, entendu on se lève,

Car la réalité est un autre aléa.

 

La politique se doit d'être la voix du peuple,

Mais les loups qui s'y trouvent n'ont qu'une seule ambition,

Mais ceux qui rejaillit sur le peuple n'est que destruction,

Et mr sarkozy se doit d'en être un exemple.

 

Aujourd'hui il sème la zizanie dans nos cœurs,

Mais ce n'est pas notre origine qui fait nos valeurs,

Car nous sommes tous français.

 

Aujourd'hui on peut décider de notre avenir,

Sinon demain, il faudra se mettre a courir,

Alors protégeons le palais.

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