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Vers par vers.


babzoo
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C'est l'été que revoilà, avec sa météo clémente et son soleil au zenith !!

C'est pas ma saison préféré loin de là, mais avec les beau jours les fille sont charmantes, vêtues de légère tunique.

Suivant le cours de la rivière, à l'ombre des arbres j'observe les Marguerites !

Une particulièrement, si élégante, si fraiche, si belle, que piétine une bourique !

 

J'ai compté ses pétales ; je t'aime un peu, beaucoup,

Ouf, sauvé, sa ne tombe pas sur pas du tout

Je détache délicatement sa racine glacée,

Ayant pour ambition, la garder en souvenir de cet été ...

 

Mais tirée de son milieu, on le sait, c'est une loi

La mignonne s'étiole et bien vite dépérit,

A mes dépens je l'ai appris

Une fleur comme un amour, il ne faut pas garder pour soi

 

En liberté il faut qu'elle vive

Pour distiller aux alentours tout le meilleur de son parfum

Par malheur m'en suis rendu ivre

Et maintenant je ne suis plus qu'un.

 

Mais sur ces plaines verdoyantes on ne compte plus les fleurs

Si c'est pour penser noir ne soyez point songeur

Le soleil brille, c'est les vacances, la rivière plus je n'envie

Qui suit tranquillement son cours, sans sortir de son lit !

( désolé j'ai pas pu m'empêcher xD )

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Il a raison, faut toujours finir sur une note positive.... je partage complètement son point de vue.

 

Oui on va dire qu'il est fini là dessus !!

 

J'aime bien le dernier vers... très lourd de sous entendus scolaires, tout en finesse... très bien vu.

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Petit bistrot du coin, tu es accolé au mur, sirotes ta boisson

La porte grince, entre une fille aux cheveux long

 

Sirotes ta boisson, sirotes ta boisson, le patron veut ses ronds

 

Elle se dirige au comptoir, commande un verre,

Tu te dirige vers elle, le patron la sert

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Petit bistrot du coin, tu es accolé au mur, sirotes ta boisson

La porte grince, entre une fille aux cheveux long

 

Sirotes ta boisson, sirotes ta boisson, le patron veut ses ronds

 

Elle se dirige au comptoir, commande un verre,

Tu te dirige vers elle, le patron la sert

 

Sirotes ta boisson, sirotes ta boisson, le patron veut ses ronds

 

Elle scrute la salle de ses yeux bleux

Et moi je la regarde l'air envieux.

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Petit bistrot du coin, tu es accolé au mur, sirotes ta boisson

La porte grince, entre une fille aux cheveux long

 

Sirotes ta boisson, sirotes ta boisson, le patron veut ses ronds

 

Elle se dirige au comptoir, commande un verre,

Tu te dirige vers elle, le patron la sert

 

Sirotes ta boisson, sirotes ta boisson, le patron veut ses ronds

 

Elle scrute la salle de ses yeux bleux

Et moi je la regarde l'air envieux

 

Elle s'adied à la table d'à côté,

Je la regarde tout ebetté

Elle me sourit, un grand sourire lumineux

je le lui rend l'air envieux

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  • 3 months later...

Allez hop, uppage de topic et rapartissage de zero.... fais trop longtemps qui traine le poeme en cours !!!

 

 

 

Alors je vais lanceeeeeeeeeeeeeeeeer..... Heuuuuuuuuuuuuuuuu :hum: !!!

 

 

Titre : Le soir je me marre

 

 

Compter les mouton, peler un Saucisson

C'est fou comme la nuit, tout est sujet a connerie !!!

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Titre : Le soir je me marre

Compter les mouton, peler un Saucisson

C'est fou comme la nuit, tout est sujet a connerie !!!

 

Oui, c'est comme la vache qui rit,

Il faut essuyer ses chaussettes sur le paillasson.

 

Reveiller gaston, courir apres un cochon

Tout un tas d"activité, a peine soupconnée !!!

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Titre : Le soir je me marre

Compter les mouton, peler un Saucisson

C'est fou comme la nuit, tout est sujet a connerie !!!

Oui, c'est comme la vache qui rit,

Il faut essuyer ses chaussettes sur le paillasson.

 

Reveiller gaston, courir apres un cochon

Tout un tas d"activité, a peine soupconnée !!!

 

Effectivement tou comme la plongée,

Il faut faire attention aux bouchons.

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Titre : Le soir je me marre

Compter les mouton, peler un Saucisson

C'est fou comme la nuit, tout est sujet a connerie !!!

Oui, c'est comme la vache qui rit,

Il faut essuyer ses chaussettes sur le paillasson.

 

Reveiller gaston, courir apres un cochon

Tout un tas d"activité, a peine soupconnée !!!

Effectivement tou comme la plongée,

Il faut faire attention aux bouchons.

 

Reparé une lanterne, lustrer cette poele trop terne

C'est foi comment je marre, a l'idée de ce qu'il y a dans se placard !!!

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Aller rapidement, humeur du moment

 

On se tourne, se tortille

Impossible de trouver le sommeil

Puis on fait une virée en ville,

Au diable le réveil.

 

On danse à s'en user les pieds

Dans les rues désertes cette nuit

Ensemble souriant aux heures qui s'enfuient

Rien ne peut plus nous toucher

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