Szocrate Posté(e) 26 novembre 2008 Share Posté(e) 26 novembre 2008 Tout est dans le titre ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferdirand Bolger Posté(e) 27 novembre 2008 Share Posté(e) 27 novembre 2008 j'ai bossé quelques morceaux a lui, love in vain, they're red hot... Comme son son est assez vieux, j'écoute plus les reprises modernes de certains artistes (ce que fait Clapton par exemple), spécialement celles de Peter Green, j'ai adoré son album tribute (beaucoup plus que celui de Clapton). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Szocrate Posté(e) 27 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) 27 novembre 2008 Ok ok ! Je ne connais pas Peter Green (Mais je vais découvrir ça ! ) Ce que je trouve sympa justement dans ce vieux son comme tu dis, c'est que c'est un mec, sa guitare, et c'est tout. J'avais un peu bossé Love in Vain mais sans vrmt aller jusqu'au bout.. Je trouve que c'est vrmt pas facile à maitriser... Tu as abordé ça après combien d'années de jeu ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TheAthenA714 Posté(e) 27 novembre 2008 Share Posté(e) 27 novembre 2008 Moi je cherche toujours quelqu'un qui pourra m'apprendre à me servir correctement d'un bottleneck, histoire de jouer un peu de bon vieux delta blues. Mais ca court pas les rues ces gens là. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Szocrate Posté(e) 28 novembre 2008 Auteur Share Posté(e) 28 novembre 2008 le bottleneck en soi c'est pas dur.. mon cousin m'avait montré 2-3 trucs assez simples ! En attendant de trouver qqun, y'a moyen de trouver sur youtube.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sergio Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 Moi je cherche toujours quelqu'un qui pourra m'apprendre à me servir correctement d'un bottleneck, histoire de jouer un peu de bon vieux delta blues. Mais ca court pas les rues ces gens là. J'ai quelque chose qui peut faire office de..... mail moi ton mail en mp..... A+ Sergio Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cup Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 J'ai découvert l'Artiste par le biais d'un manga avec des dessins d'un réalisme épatant : "Me and the devil blues". Voilà qui pourrait p'tête intéresser les allergiques au manga, qui sait. Paraît que si Robert Johnson jouait aussi bien, c'est qu'il avait pactisé avec le diable. On aurait envie d'y croire... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TheAthenA714 Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 Pour plus de précision, il aurait vendu son âme au diable à un fameux croisement de routes aux états unis (d'ou le film "Crossroads"). C'est aussi ce personnage que l'on retrouve sous un autre nom dans O'Brother Et d'après la légende, sans parler de diable, il s'est vraiment passé quelque chose de bizarre à ce carrefour, puisqu'il était (d'après les témoins) incapable de jouer de la guitare avant d'y aller, et que du jour au lendemain il est devenu extrêment bon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cup Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 Yep, paraît qu'il se déchaînait sur sa gratte, qu'il y mettait toute son âme et son énergie mais qu'aucun son potable n'en sortait. Cette biographie ajoute même que contre un jeu de cordes pestaculaire, il aurait perdu femme, enfant et amour de sa famille. La musique a un pouvoir fou. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferdirand Bolger Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 La rumeur dit qu'il aurait trouvé a ce croisement une méthode en ligne : "devenir guitariste pro en une nuit"... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cup Posté(e) 7 décembre 2008 Share Posté(e) 7 décembre 2008 Dommage que les auteurs du bouquin n'en n'aient tiré qu'un exemplaire... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cup Posté(e) 14 décembre 2008 Share Posté(e) 14 décembre 2008 Le pacte avec le diable C'est en 1931 qu'il rencontre Son House pour la première fois. Ce dernier, l'écoutant jouer, le ridiculise ("tu ne sais pas jouer de la guitare, tu fais fuir les gens") et lui conseille d'abandonner la guitare pour se concentrer sur l'harmonica. Peu de temps après cet affront, il quitte Robinsonville pour sa ville natale Hazlehurst dans laquelle il espère retrouver la trace de son véritable père. À Hazlehurst, Robert tombe entre les mains du bluesman Ike Zinnerman qui devient son mentor. Par ailleurs, étant beau garçon, il ne met pas beaucoup de temps à rencontrer une nouvelle femme, Calletta "Callie" Craft, de dix ans son aînée, qu'il épouse en secret en mai 1931. Callie idolâtre Robert et s'occupe de toute son intendance, cuisinant et travaillant pour lui. Ceci laisse beaucoup de temps à Robert pour travailler la musique auprès de Ike. Le samedi soir, il se rend dans les tavernes, parfois accompagné de Callie, pour jouer toute la nuit. Il commence alors à obtenir un certain respect en tant que musicien et se fait un nom sous les initiales de R.L. (pour Robert Lonnie du nom d'un musicien plus célèbre également appelé Johnson). Robert revient finalement à Robinsonville deux ans après l'avoir quitté. Son House est abasourdi par les progrès réalisés par le guitariste avouant même qu'il est maintenant dépassé. C'est à cause de ces progrès stupéfiants que la légende du pacte avec le diable va naître à une époque où le vaudou est encore très vivace dans la communauté noire du Mississippi. Robert Johnson va profiter de cette rumeur pour mettre en place la légende. Un jour, il réunit quelques amis au coin d'un bois et leur raconte ce qui va devenir sa légende : un soir très sombre alors qu'il se promenait dans les alentours de Clarksdale dans le Mississippi, il se perdit à un carrefour (crossroads en anglais). Alors qu'il commençait à s'endormir une brise fraîche le réveilla. Il vit au dessus de lui une ombre immense avec un long chapeau. Effrayé, ne pouvant dévisager cette apparition Johnson resta comme paralysé. Sans un mot l'apparition se pencha, prit sa guitare, l'accorda, joua quelques notes divines avant de lui rendre l'instrument et de disparaître dans le vent noir du Sud. En réalité, cette légende provient d'un autre bluesman, Tommy Johnson, qui prétendait avoir vendu son âme au diable, un soir, à un carrefour, pour obtenir sa virtuosité à la guitare. Robert Johnson aurait donc repris cette histoire à son compte, à moins que -Tommy et lui portant le même nom (Johnson)- elle ne lui ait été attribuée à tort. Cette légende et le personnage de Tommy Johnson apparaissent dans le film des frères Coen, O'Brother. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Szocrate Posté(e) 24 décembre 2008 Auteur Share Posté(e) 24 décembre 2008 Bon ben Cup à tout dit Justement tantôt je pensais à ça.. vous savez, si ce Robert ne faisait rien de ses journées, il avait le temps de bosser son blues.. imaginez-vous ne faire que cela pendant un an, jour pour jour.. vous ferez sans doute des progrès inimaginables ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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